Bien aidé par l’UNION DES CLUBS TAURINS DE France (UCTF), et le soutien sans faille de son président Gérard Suberchicot, le club diffuse la culture taurine à travers divers points forts annuels. En février dernier, le premier rendez-vous du club a permis aux adhérents de se retrouver, d’échanger et d’en apprendre plus sur le monde taurin en général, et sur la tauromachie en particulier.
Une première délégation du club s’est retrouvée à Séville, pour la feria de abril, avec au programme trois dates à la Maestranza. Avec ensuite la feria de San Isidro, et plus récemment quelques jours en Navarre pour la San Fermín.
Les neo-aficionados ont eu la chance de voir les plus grands noms de l’escalafón lidier dans ces places mythiques. Certains ont également fait le déplacement à Boujan, Istres, Nîmes, Mont-de-Marsan, Tyrosse, et Parentis-en-Born.
Pour clôturer l’été, une visite d’élevage est programmée à la rentrée, et permettra aux membres de partager leurs expériences estivales.
Dans une région qui ne connaît plus les courses depuis bien longtemps, l’aficion renaît. Certains y trouvent une passion ; d’autres, sensibilisés aux problématiques du monde rural, prônent la défense d’un monde qui s’étend au-delà du ruedo. Tous savent en effet qu’avant la plaza, avant les habits de lumière, avant les sorties triomphales, il y a des ganaderias qui perpétuent une tradition multiséculaire : la sélection des meilleures têtes, des toros les plus braves, élevés dans des campos à perte de vue. Plus qu’un travail, c’est un mode de vie que le club taurin de Brive veut partager et faire perdurer.
